Le Monde

20 Juin 2008.


CRISTINA RUIZ EXPOSE À PARIS ET MADRID

L’artiste Cristina Ruiz, autrement connue sous le nom de « peintre de l’amour », a contribué une fois de plus à la réputation du Mexique en présentant son œuvre dans les capitales artistiques européennes les plus importantes : Paris et Madrid.

Ce grand peintre, sculpteur et poète mexicaine a séduit grâce à son maniement des techniques artistiques.

Ruiz a été l’invitée spéciale de l’une des manifestations artistiques les plus importantes d’Espagne : la FAIM, qui s’est tenue du 25 au 29 octobre 2007 à Madrid. L’esthète y a présenté une vingtaine d’œuvres picturales qui ont reçu un bon accueil.

Pour l’occasion l’artiste était accompagnée de Jaime del Arenal Fenochio, conseiller culturel de l’Ambassade Mexicaine en Espagne.

Par la suite, elle a présenté avec succès une grande exposition dans l’une des galéries les plus prestigieuses de Paris, Christine Couderc, lors de laquelle plus de 30 œuvres, entre peintures et sculptures, ont pu être admirées.

Jaime Moreno Villareal, agrée culturel de l’Ambassade du Mexique en France, a inauguré cette exposition, ainsi que la comtesse Betsy Westendorp et le maire du XVIe arrondissement de Paris, Joseph Tenuta.

Victime de son succès, cette expo se prolongera jusqu’au 28 février 2008.

Au travers de ces deux expositions, Cristina Ruiz a réussi à asseoir les bases d’une vrai reconnaissance de son travail artistique dans deux villes qui concentrent l’art européen et qui furent à une époque, du moins en ce qui concerne la capitale française , lieux de rayonnements artistiques pour le monde entier.

Cristina Ruiz a choisi des quartiers comme celui de Montparnasse, lieu de rendez-vous artistiques du XXe siècle, pour réussir à renouer avec la valeur de l’art mexicain et en particulier, le sien, qui est devenu depuis un certain temps, symbole d’orgueil et de dignité pour les mexicains.

Cristina Ruiz, qui a aussi publié plusieurs livres de poésie  et d’art, a toujours à travers le monde, ainsi que ses expositions ; et cette dernière n’a pas été l’exception à la règle.


BRUNO FERT